Le 6 septembre 2021 à 11h, l’Ugict-CGT révèlera les résultats de son enquête nationale sur le télétravail lors d’une conférence de presse en ligne
Avec la présence de :
- Marie-José KOTLICKI et Sophie BINET, Co Secrétaires générales de l’Ugict-CGT
- Nayla GLAISE, ingénieure, DS CGT Accenture, membre du bureau de l’Ugict et du Presidium d’Eurocadres
- Matthieu TRUBERT, ingénieur, DS CGT Microsoft, secrétaire de l’Ufict-CGT Métallurgie
- Louis ERB, statisticien (DARES), secrétaire général adjoint de la CGT de l’administration centrale des ministères sociaux
En mars 2020, des milliers de salariés étaient confrontés au télétravail sans y être préparés. À cette occasion, l’Ugict-CGT avait lancé une première enquête “Le travail sous épidémie” à laquelle 35 000 personnes avaient répondu.
Une démarche de consultation, d’écoute et d’analyse
Un an après, plus de 10 000 personnes en télétravail ont répondu entièrement à cette nouvelle enquête de plusieurs pages . Les questions portent en détail sur le vécu et les conditions de télétravail et les conséquences en matière de santé, de sens du travail, d’efficacité professionnelle, de bien-être, de qualité de vie et de travail, etc…
Le collectif Ugict « Télétravail » avec des syndiqués de la DARES et de la DREES ont élaboré cette grande enquête nationale. Le questionnaire a été conçu et analysé avec des experts pour chaque volet. Les salariés ont pu s’exprimer librement pour faire part de leur ressenti, leur vécu, leur expérience.
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Des résultats riches, denses et inédits
Les résultats permettront d’interpeler le gouvernement et le patronat et l’opinion publique sur la nécessité d’encadrer le télétravail et de prévenir les risques organisationnels.
L’an dernier, la première enquête de l’Ugict lors du confinement avait mis en lumière une grande diversité du vécu selon les catégories, les risques majeurs auxquels étaient exposés les salariés qui continuaient alors à travailler sur site, l’insuffisance flagrante des mesures de protection, la mise en place d’un télétravail en « mode dégradé » générant d’importants risques psychosociaux et une augmentation du temps et de la charge de travail. Cette étude fait désormais référence.
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